Les étudiant.e.s de 2^ème^ année doivent obligatoirement faire un stage. Certain.e.s le réalisent en alternance et l'ont trouvé dès la fin de la première année.
Les étudiant.e.s de 2<sup>ème</sup> année doivent obligatoirement faire un stage. Certain.e.s le réalisent en alternance et l'ont trouvé dès la fin de la première année.
La recherche peut être longue et fastidieuse, parfois décourageante. On envoie beaucoup de CV et de LM, et on n'obtient pas toujours facilement un entretien de recrutement.
La multiplication des «fake news» ou en français, «infox», traduction suggérée par la Commission de néologie et de terminologie (cf. https://www.culture.fr/franceterme/terme/CULT754) rend difficile l'interprétation de l'information à notre époque. Le grand public a souvent besoin qu'on l'aide à repérer les informations malveillantes, tronquées, ou fausses. Le domaine de la lutte d'influence passe de loin les domaines de la politique, de la défense, pour s'étendre au commerce, à la propriété intellectuelle et industrielle, la réputation d'autrui, etc.
Les mauvaises informations entraînent une simplification du débat public dans les démocraties, un appauvrissement des échanges dialectiques, et l'émergence d'une forme nouvelle de violence orale, écrite et idéologique. Ces «fakes» sont un terreau fertile pour les menées complotistes et conspirationnistes, qui contrairement à ce que l'on croit, ne datent pas récemment de l'expansion du numérique, mais remontent à la Révolution française, à la fin du XVIII^ème^ siècle.
Les mauvaises informations entraînent une simplification du débat public dans les démocraties, un appauvrissement des échanges dialectiques, et l'émergence d'une forme nouvelle de violence orale, écrite et idéologique. Ces «fakes» sont un terreau fertile pour les menées complotistes et conspirationnistes, qui contrairement à ce que l'on croit, ne datent pas récemment de l'expansion du numérique, mais remontent à la Révolution française, à la fin du XVIII<sup>ème</sup> siècle.