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- Il est nécessaire de prendre en compte de nombreux éléments afin d’évaluer l’empreinte carbone de notre entreprise de jeux de société :
+ De nos jours, bien que le papier se fait remplacer peu à peu par des versions numérisées de celui-ci, il s’agit de se demander
+ si une telle conversion de nos supports d’écriture, moyen de communications est bénéfique pour notre environnement et notre planète.
- Tout d’abord, les émissions de gaz à effet de serre (GES), qu’elles soient directes ou indirectes, elles vont nous permettre
- d’avoir déjà une vue globale de l’entreprise au niveau de son empreinte carbone.
+ D’une part, le papier est un fort consommateur de bois (matière première permettant la création du papier), à cela s’ajoute toutes
+ les énergies permettant l’extraction du bois ainsi que sa transformation en papier. Ce qui nécessite de nombreuses machines.
+ Cependant, son usage peut être multiple et réutilisable (recyclage du papier). On peut donc en conclure que le papier est un
+ gros demandeur en bois et en énergie pour le produire (plus la quantité de papier fabriqué augmente, plus les émissions de GES
+ sont importantes), mais il peut être réutilisable et peut avoir une utilisation variée. Ce qui fait de lui un bon produit pour
+ de faibles quantités car lorsque sa quantité augmente sa consommation en énergie augmente en conséquence.
- De plus, il est indispensable de connaître la provenance des énergies consommées par l’entreprise. Par exemple, l’utilisation de sources d’énergies renouvelables ou
- de technologies propres (utilisation de technologies les moins consommatrices) montreront que l’entreprise s’implique dans sa démarche RSE
- (Responsabilité Sociétale de l’Entreprise). Ajoutons à cela les initiatives prises par l’entreprise pour réduire sa consommation. L’entreprise
- cherche-t-elle à réduire sa consommation d’énergies et ses émissions de GES. Par exemple, l’utilisation futile de l'électricité, l'efficacité énergétique
- de ces équipements qui font eux aussi partis de la démarche RSE de l’entreprise.
+ D’autre part, le format numérique est lui un fort consommateur en énergie électrique lors de son fonctionnement. Une forte émission
+ de CO2 lors de sa production et de son fonctionnement est rejetée mais cela reste convenable en fonction de la quantité de formats
+ numériques qui y transitent dans les datas center (locaux de serveurs). L’énergie consommée étant principalement due à la consommation
+ des serveurs et à leurs refroidissements. On peut donc en conclure que le format numérique serait plus adapté pour des plus gros échanges
+ car sa consommation varie peu en fonction de la quantité qui y transite.
- Enfin, l’entreprise doit mettre en place des stratégies en matière de durabilité et ainsi lutter contre le changement climatique. C’est pour cela qu’elle
- doit être transparente vis-à-vis de ses consommateurs en matière de rendus de ses consommations et d’émissions, ainsi que de ses efforts pour réduire son empreinte carbone.
+ En conclusion, selon moi le papier serait plus adapté pour des échanges de petites envergures car sa consommation dépend de sa quantité
+ produite. De plus les différentes possibilités de celui-ci et notamment son recyclage lui permet une réutilisation à moindre coût de
+ consommation. Cependant, ce passage au numérique peut être bénéfique et notamment dans les cas de grandes distributions du même papier
+ car sa consommation varie peu en fonction des données qui y transitent.
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- Pour conclure, les éléments principaux à prendre en compte pour juger l’empreinte carbone de l’entreprise dans laquelle nous travaillons sont les émissions de GES,
- la provenance des énergies consommées par l’entreprise ainsi que son implication pour sa démarche RSE.
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Thomas