<ahref="#carac">Caractéristiques demandeurs et offreurs</a>
<ahref="#acteurs">Acteurs économiques</a>
<ahref="#swot">S.W.O.T.</a>
<ahref="#emp">Empreinte carbone</a>
<ahref="#rendu">Mode de rendu</a>
</nav>
<div>
<sectionclass="presentation">
<sectionid="presentation">
<h2>Présentation</h2>
<article>
<p>
Notre entreprise de jeux de société est une PME de 40 collaborateurs. En effet, une entreprise qui comprend entre 10 et 249 salariés est considérée comme PME (Petites et Moyennes Entreprises).
Son domaine d’activité est la prestation de service (location) puisque c’est dans la location que l’entreprise fait la majeure partie de son chiffre d’affaires.
Son type de client se fait en B2B (Business to Business) c’est-à-dire d’entreprise à entreprise, mais aussi en B2C (Business to Consumer), c’est-à-dire, d’entreprise à consommateur (ménage).
Sur le marché dans lequel elle intervient, elle est en situation d’oligopole bilatéral, c’est-à-dire qu’il y a peu d’entreprise qui peuvent la concurrencé pour quelques demandeurs pour toucher une clientèle restreinte.
Son statut juridique est une SARL, c'est-à-dire une Société Anonyme à Responsabilité Limitée lui permettant de ne pas engager son patrimoine personnel du ou des dirigeant(s).
</p>
</article>
<article>
<p>
Notre entreprise de jeux de société est une PME de 40 collaborateurs. En effet, une entreprise qui comprend entre 10 et 249 salariés est considérée comme PME (Petites et Moyennes Entreprises).
Son domaine d’activité est la prestation de service (location) puisque c’est dans la location que l’entreprise fait la majeure partie de son chiffre d’affaires.
Son type de client se fait en B2B (Business to Business) c’est-à-dire d’entreprise à entreprise, mais aussi en B2C (Business to Consumer), c’est-à-dire, d’entreprise à consommateur (ménage).
Sur le marché dans lequel elle intervient, elle est en situation d’oligopole bilatéral, c’est-à-dire qu’il y a peu d’entreprise qui peuvent la concurrencé pour quelques demandeurs pour toucher une clientèle restreinte.
Son statut juridique est une SARL, c'est-à-dire une Société Anonyme à Responsabilité Limitée lui permettant de ne pas engager son patrimoine personnel du ou des dirigeant(s).
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</article>
</section>
<sectionclass="carac">
<sectionid="carac">
<h2>Caractéristiques des demandeurs et offreurs</h2>
<article>
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</section>
<sectionclass="acteurs">
<sectionid="acteurs">
<h2>Les acteurs économiques</h2>
<article>
<p>
Il faut savoir que dans un marché, il n’y a pas que les entreprises qui interviennent. L’entreprise est considérée comme le cœur de la société de consommation puisqu’elle produit ou met
@ -133,160 +135,234 @@
</section>
<sectionclass="swot">
<sectionid="swot">
<h2>Représentation du SWOT sous forme de tableau</h2>
<tableclass="tabswot">
<tableid="tabswot">
<thead>
<tr>
<td>Forces :
-force1
-force2
<ul>
<li>Diversification des produits</li>
<li>Site internet clair et lisible en cas de première venue pour ne pas faire fuir le client</li>
<li>Démarche RSE : volonté de l’entreprise de se démarquer de la concurrence en tenant compte de l’impact écologique qu’elle produit.</li>
<li>Diversité de la clientèle ; l’entreprise cherche à toucher un segment de population de tout âge et de toute génération</li>
<li>Bonne gestion des stocks et des commandes via la base de données</li>
</ul>
</td>
<td>Faiblesses :
-faib1
-faib2
<ul>
<li>Dépendance du service numérique pour assurer la fiabilité de nos services</li>
</ul>
</td>
</tr>
<tr>
<td>Opportunités :
-opp1
-opp2
<ul>
<li>Attention du consommateur sur la qualité des produits (Made in France, Artisanat)</li>
<li>Confinement ⇒ bond des ventes dues aux livraisons à domicile</li>
<li>Collaboration avec des prestataires de livraison reconnus (Colissimo)</li>
<li>Digitalisation des jeux de sociétés pour attirer une clientèle plus large dont la nouvelle génération</li>
<li>Diversité de la clientèle ; l’entreprise cherche à toucher un segment de pop de tout âge et de toute génération</li>
<li>Intervention de l’état (pass culture, pass région) pour permettre aux jeunes générations d’accéder au bonheur</li>
</ul>
</td>
<td>Menaces :
-mena1
-mena2
<ul>
<li>Problème numérique, pas d’outils numérique fiable</li>
<li>Révolution numérique ; l’entreprise ne pas doit perdre le fil pour se faire manger par la concurrence par des entreprises étrangères</li>
<li>L’inflation va jouer sur le coût des matières premières, il faudra revoir le cout des produits et potentiellement restreindre sa clientèle</li>
<li>Dépendance des prestations de livraison car elles ont une capacité de négociation très forte(Pénurie de carburant, montée des prix, inflation de carburant, etc.…)</li>
<li>Arrivé d’un nouveau concurrent bien que l’entreprise soit bien implantée en France et qu’elle domine un marché, elle n’est pas à l’abri d’un concurrent qui arrive dans le marché.</li>
<li>Nouvelles lois, nouvelles normes, pas à l’abri que les institutions instaurent une nouvelle loi contraignant le marché</li>
</ul>
</td>
</tr>
</thead>
</table>
</section>
<sectionclass="emp">
<sectionid="emp">
<h2>Notre empreinte carbone</h2>
<h3>Andy-Maël</h3>
<article>
<p>
Pour juger l’empreinte carbone de notre entreprise, il est important que nous suivions un ensemble de démarches environnementales pour que notre empreinte carbone ne soit pas dans l’excès.
</p>
<p>
Parmi celles-ci, on peut prendre en compte le mode de transport de la livraison vers nos clients et aux entreprises pour mêler rapidité de livraison et son émission.
</p>
<p>
Parmi les modes de transports, il y a trois possibilités qui s’offrent à nous : Parmi les modes de transports, il y a trois possibilités qui s’offrent à nous :
</p>
<ul>
<li>Le camion : Ce mode de transport est très utilisé en France pour de la livraison, mais il n’est pas adapté car il n’est pas assez rapide comparé à un avion ou un train.</li>
<li>Le train : Ce mode de transport est aussi très utilisé en France ; ses avantages sont qu’il est assez rapide comparé à un camion et il n’émet presque pas d’eq kgCO2.</li>
</ul>
<p>
En voyant ces résultats, nous pouvons avec plus de détail décider quel est le mode de transport le plus efficace.
En effet, d’après le CNRS, Ecoinfo, C.Bonamy, L.Bourgès en 2021, on a pu comparer le TGV, la voiture et l’avion sur un trajet aller/retour Paris-Lyon.
Nous pouvons constater que le TGV n’émet que 2 eq kgCO2, comparé à la voiture qui émet 132 eq kgCO2 et l’avion 120 eq kgCO2.
En observant ces résultats, nous en déduisons que c’est le train qui l’emporte ; c’est le moyen qui respecte le mieux l’environnement dû à son émission d’eq kgCO2 quasiment nulle,
alors que les autres moyens en émettent beaucoup plus, tout en étant efficace sur le plan de la rapidité de livraison.
</p>
</article>
<h3>Antoine</h3>
<article>
<p>
aa
</p>
</article>
<article>
<p>
Pour mesurer l'empreinte carbone de notre entreprise, il faut d'abord commencer par les émissions de gaz à effet de serre (GES) de l'entreprise.
En effet, il est primordial que son empreinte carbone ne soit pas excessive afin de respecter les normes environnementales et de ne pas consommer
trop d'énergie.
D'une part, on mesure l'empreinte carbone émise par l'entreprise ; comme par exemple la consommation d'électricité : il est nécessaire d'avoir de l'électricité
car notre entreprise dépend du numérique, dont notre base de données et notre site Web. Il faut donc mesure sa consommation pour permettre de juger son bilan énergétique.
D'autre part, on pourrait inclure les consommations qui ne viennent pas de notre entreprises mais que l'on doit quand même prendre en compte pour permettre de garder
une bonne image sur le plan environnemental, comme par exemple les émission de GES des prestataires de livraison en fonction de leur véhicule.
Pour conclure, lorsque l'on mesure les émissions de GES de notre entreprise, on doit à la fois mesurer nos propres consommations ainsi que les consommations de nos partenaires,
afin de juger le bilan carbone de notre entreprise.
</p>
</article>
<h3>Antoine</h3>
<h3>Thomas</h3>
<article>
<p>
Il est nécessaire de prendre en compte de nombreux éléments afin d’évaluer l’empreinte carbone de notre entreprise de jeux de société :
Tout d’abord, les émissions de gaz à effet de serre (GES), qu’elles soient directes ou indirectes, elles vont nous permettre d’avoir déjà
une vue globale de l’entreprise au niveau de son empreinte carbone.
De plus, il est indispensable de connaître la provenance des énergies consommées par l’entreprise. Par exemple, l’utilisation de sources d’énergies renouvelables
ou de technologies propres (utilisation de technologies les moins consommatrices) montreront que l’entreprise s’implique dans sa démarche RSE (Responsabilité Sociétale de l’Entreprise).
Ajoutons à cela les initiatives prises par l’entreprise pour réduire sa consommation. L’entreprise cherche-t-elle à réduire sa consommation d’énergies et
ses émissions de GES. Par exemple, l’utilisation futile de l'électricité, l'efficacité énergétique de ces équipements qui font eux aussi partis de la démarche RSE de l’entreprise.
Enfin, l’entreprise doit mettre en place des stratégies en matière de durabilité et ainsi lutter contre le changement climatique. C’est pour cela qu’elle doit être
transparente vis-à-vis de ses consommateurs en matière de rendus de ses consommations et d’émissions, ainsi que de ses efforts pour réduire son empreinte carbone.
Pour conclure, les éléments principaux à prendre en compte pour juger l’empreinte carbone de l’entreprise dans laquelle nous travaillons sont
les émissions de GES, la provenance des énergies consommées par l’entreprise ainsi que son implication pour sa démarche RSE.
</p>
</article>
<h3>Thomas</h3>
<article>
<p>
Selon moi, juger l’empreinte carbone de l’entreprise, il est nécessaire de prendre plusieurs paramètres en compte. En effet, pour mesurer une empreinte carbone,
on va se baser sur la production de GES (gaz à effets de serre) et ainsi définir un bilan carbone de l’entreprise. Pour définir ce bilan carbone,
il faut se poser la question, durant tout son processus de production, quels sont les moyens ou les ressources prises par l’entreprise qui émet du CO2 ?
Dans notre cas, comme nous sommes une entreprise de location et de réservation de jeux de société, nous devons prendre en compte dans nos émissions de GES,
les consommations intermédiaires, tels que l’électricité, l’eau, … Puisque, si l’entreprise d’une part n’utilise pas de l’énergie verte, alors son empreinte carbone
sera plus importante, mais surtout si l’entreprise se permet d’avoir une consommation gourmande, alors son empreinte carbone sera plus élevée. Toutefois,
ceci correspond aux émissions que l’entreprise fait de manière directe. Selon, moi il faut aussi prendre en compte les choix des partenaires de l’entreprise.
Si nous commençons, en bas de notre chaine de production c’est-à-dire, les jeux de société, notamment grâce à notre collaboration avec Hasbro, voir si nous avons
donc pas un fournisseur dont sont bilan carbone est trop élevé. Ou encore, pour notre service de livraison, si l’entreprise prestataire est une entreprise qui
se permet de livrer avec des véhicules plus ou moins polluants jouera aussi sur l’entreprise carbone de notre entreprise.
Pour conclure, je pense que l’empreinte carbone d’une entreprise doit avant tout se mesurer au sein de son propre processus de production, mais aussi,
doit tenir des émissions indirectes fait par ses partenaires et collaborateurs. Sinon il serait bien trop facile pour une entreprise de déléguer ses activités
polluantes à des prestataires, et de se prétendre comme une entreprise non polluante alors que son activité globale détient un bilan carbone des plus désastreux.
</p>
</article>
<article>
<p>
Selon moi, pour juger l’empreinte carbone de l’entreprise, il est nécessaire de prendre plusieurs paramètres en compte. En effet, pour mesurer une empreinte carbone,
on va se baser sur la production de GES (gaz à effets de serre) et ainsi définir un bilan carbone de l’entreprise. Pour définir ce bilan carbone,
il faut se poser la question, durant tout son processus de production, quels sont les moyens ou les ressources prises par l’entreprise qui émet du CO2 ?
Dans notre cas, comme nous sommes une entreprise de location et de réservation de jeux de société, nous devons prendre en compte dans nos émissions de GES,
les consommations intermédiaires, tels que l’électricité, l’eau, … Puisque, si l’entreprise d’une part n’utilise pas de l’énergie verte, alors son empreinte carbone
sera plus importante, mais surtout si l’entreprise se permet d’avoir une consommation gourmande, alors son empreinte carbone sera plus élevée. Toutefois,
ceci correspond aux émissions que l’entreprise fait de manière directe. Selon, moi il faut aussi prendre en compte les choix des partenaires de l’entreprise.
Si nous commençons, en bas de notre chaine de production c’est-à-dire, les jeux de société, notamment grâce à notre collaboration avec Hasbro, voir si nous avons
donc pas un fournisseur dont sont bilan carbone est trop élevé. Ou encore, pour notre service de livraison, si l’entreprise prestataire est une entreprise qui
se permet de livrer avec des véhicules plus ou moins polluants jouera aussi sur l’entreprise carbone de notre entreprise.
Pour conclure, je pense que l’empreinte carbone d’une entreprise doit avant tout se mesurer au sein de son propre processus de production, mais aussi,
doit tenir des émissions indirectes fait par ses partenaires et collaborateurs. Sinon il serait bien trop facile pour une entreprise de déléguer ses activités
polluantes à des prestataires, et de se prétendre comme une entreprise non polluante alors que son activité globale détient un bilan carbone des plus désastreux.
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</article>
</section>
</div>
<sectionid="rendu">
<h2>Mode de rendu</h2>
<h3>Andy-Maël</h3>
<article>
<p>
Si l’on se réfère à rendre un dossier à destination d’une seule personne, nous verrons qu’il y a une méthode parmi les deux qui est la moins polluante.
</p>
</article>
<article>
<p>
Le numérique pourrait être un avantage par rapport au papier car non seulement il n’y a pas d’exploitation de ressources naturelles nécessaires comme les arbres
mais le dossier sera consultable sous format numérique, facilement, à tout moment. En revanche, le point noir est l’équipement nécessaire à l’envoi de ce dossier.
En effet, un serveur est requis afin de traiter notre demande, ce qui utilise beaucoup d’énergie et émet une quantité très élevée de GES, soit plus de 1000 eq kgCO2 pour la fabrication et plus de 3000 eq kgCO2 pour l’usage.
D’autant plus, ces machines ne durent que 7 ans donc le recyclage en fin de vie sera difficile.Le numérique pourrait être un avantage par rapport au papier car non seulement
il n’y a pas d’exploitation de ressources naturelles nécessaires comme les arbres mais le dossier sera consultable sous format numérique, facilement, à tout moment.
En revanche, le point noir est l’équipement nécessaire à l’envoi de ce dossier. En effet, un serveur est requis afin de traiter notre demande, ce qui utilise beaucoup d’énergie et
émet une quantité très élevée de GES, soit plus de 1000 eq kgCO2 pour la fabrication et plus de 3000 eq kgCO2 pour l’usage. D’autant plus, ces machines ne durent que 7 ans donc le recyclage en fin de vie sera difficile.
</p>
</article>
<article>
<p>
En ce qui concerne le papier son avantage est tout simplement le fait que nous n’ayons pas besoin d’autant d’infrastructure comme des serveurs pour rendre notre dossier.
En effet, même si la réception de nos papiers passe par l’exploitation des arbres dans des zones, le papier reste un matériel facilement recyclable contrairement à un serveur.
Bien que le format numérique rende la consultation du dossier d’une manière plus facile, la méthode papier permettra de faire donc des économies en matière d’émission de GES.
En ce qui concerne le papier son avantage est tout simplement le fait que nous n’ayons pas besoin d’autant d’infrastructure comme des serveurs pour rendre notre dossier.
En effet, même si la réception de nos papiers passe par l’exploitation des arbres dans des zones, le papier reste un matériel facilement recyclable contrairement à un serveur.
Bien que le format numérique rende la consultation du dossier d’une manière plus facile, la méthode papier permettra de faire donc des économies en matière d’émission de GES.
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<divclass="rendu">
<h2>Mode de rendu</h2>
<h3>Andy-Maël</h3>
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Si l’on se réfère à rendre un dossier à destination d’une seule personne, nous verrons qu’il y a une méthode parmi les deux qui est la moins polluante.
</p>
<article>
<p>
Cependant, si l’on se réfère à chaque groupe qui rend leur dossier à une personne, dans ce cas-là, le format numérique est plus efficace car cela évitera d’avoir trop de papiers
et de pouvoir donc facilement consulter chaque dossier sur un seul et même ordinateur, rendant ainsi la tâche moins fastidieuse.
</p>
</article>
<p>
Le numérique pourrait être un avantage par rapport au papier car non seulement il n’y a pas d’exploitation de ressources naturelles nécessaires comme les arbres
mais le dossier sera consultable sous format numérique, facilement, à tout moment. En revanche, le point noir est l’équipement nécessaire à l’envoi de ce dossier.
En effet, un serveur est requis afin de traiter notre demande, ce qui utilise beaucoup d’énergie et émet une quantité très élevée de GES, soit plus de 1000 eq kgCO2 pour la fabrication et plus de 3000 eq kgCO2 pour l’usage.
D’autant plus, ces machines ne durent que 7 ans donc le recyclage en fin de vie sera difficile.Le numérique pourrait être un avantage par rapport au papier car non seulement
il n’y a pas d’exploitation de ressources naturelles nécessaires comme les arbres mais le dossier sera consultable sous format numérique, facilement, à tout moment.
En revanche, le point noir est l’équipement nécessaire à l’envoi de ce dossier. En effet, un serveur est requis afin de traiter notre demande, ce qui utilise beaucoup d’énergie et
émet une quantité très élevée de GES, soit plus de 1000 eq kgCO2 pour la fabrication et plus de 3000 eq kgCO2 pour l’usage. D’autant plus, ces machines ne durent que 7 ans donc le recyclage en fin de vie sera difficile.
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<h3>Antoine</h3>
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En ce qui concerne le papier son avantage est tout simplement le fait que nous n’ayons pas besoin d’autant d’infrastructure comme des serveurs pour rendre notre dossier.
En effet, même si la réception de nos papiers passe par l’exploitation des arbres dans des zones, le papier reste un matériel facilement recyclable contrairement à un serveur.
Bien que le format numérique rende la consultation du dossier d’une manière plus facile, la méthode papier permettra de faire donc des économies en matière d’émission de GES.
En ce qui concerne le papier son avantage est tout simplement le fait que nous n’ayons pas besoin d’autant d’infrastructure comme des serveurs pour rendre notre dossier.
En effet, même si la réception de nos papiers passe par l’exploitation des arbres dans des zones, le papier reste un matériel facilement recyclable contrairement à un serveur.
Bien que le format numérique rende la consultation du dossier d’une manière plus facile, la méthode papier permettra de faire donc des économies en matière d’émission de GES.
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Il est nécessaire de prendre en compte de nombreux éléments afin d’évaluer l’empreinte carbone de notre entreprise de jeux de société :
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Tout d’abord, les émissions de gaz à effet de serre (GES), qu’elles soient directes ou indirectes, elles vont nous permettre
d’avoir déjà une vue globale de l’entreprise au niveau de son empreinte carbone.
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Cependant, si l’on se réfère à chaque groupe qui rend leur dossier à une personne, dans ce cas-là, le format numérique est plus efficace car cela évitera d’avoir trop de papiers
et de pouvoir donc facilement consulter chaque dossier sur un seul et même ordinateur, rendant ainsi la tâche moins fastidieuse.
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De plus, il est indispensable de connaître la provenance des énergies consommées par l’entreprise. Par exemple, l’utilisation de sources d’énergies renouvelables ou
de technologies propres (utilisation de technologies les moins consommatrices) montreront que l’entreprise s’implique dans sa démarche RSE
(Responsabilité Sociétale de l’Entreprise). Ajoutons à cela les initiatives prises par l’entreprise pour réduire sa consommation. L’entreprise
cherche-t-elle à réduire sa consommation d’énergies et ses émissions de GES. Par exemple, l’utilisation futile de l'électricité, l'efficacité énergétique
de ces équipements qui font eux aussi partis de la démarche RSE de l’entreprise.
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<h3>Antoine</h3>
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Enfin, l’entreprise doit mettre en place des stratégies en matière de durabilité et ainsi lutter contre le changement climatique. C’est pour cela qu’elle
doit être transparente vis-à-vis de ses consommateurs en matière de rendus de ses consommations et d’émissions, ainsi que de ses efforts pour réduire son empreinte carbone.
</p>
</article>
<h3>Thomas</h3>
<p>
La transmission d’information se repose sur 2 outils majeurs, une version papier et une version numérique. Toutefois, depuis peu, l’impact environnementale des systèmes d’informations peut être remis en question.
Pour cela, nous pourrons nous demander quel système d’informations a un plus grand impact écologique ?
</p>
<article>
<p>
Pour conclure, les éléments principaux à prendre en compte pour juger l’empreinte carbone de l’entreprise dans laquelle nous travaillons sont les émissions de GES,
la provenance des énergies consommées par l’entreprise ainsi que son implication pour sa démarche RSE.
</p>
</article>
<p>
Pour le format papier, les émissions de gaz à effet de serre (GES) sont dues à la déforestation et sur l'arrivée des produits nécessaires à la transformation, toutefois, ceux-ci varient
selon la gestion des forêts et de la provenance du papier. Il est donc vrai que pendant son processus de production, le papier est une source de pollution que l’on ne peut négliger.
L’avantage du papier, c’est qu’une fois la production passée, sa pollution est limitée puisqu’il est plus ou mon facile de le recycler,
donc pratique pour des partages d’informations à petite échelle, c’est-à-dire qui ne nécessite pas plusieurs exemplaires.
</p>
<h3>Thomas</h3>
<p>
Pour le format numérique, les GES sont dues aux datas center (permettant de stocker la donnée partagée), les infrastructures réseaux, les systèmes de refroidissement
de ses infrastructures (comprenant leurs consommation énergétique) et les équipements numériques des consommateurs. Pour la pollution numérique, il ne faut donc pas négliger la pollution
lors du processus de production du bien, la pollution engendrée pour la maintenance des produits utilisées et enfin, la pollution lorsque l’objet arrive en fin de vie, en effet,
beaucoup de matériels du numérique sont difficilement recyclables (batterie, …) et en plus d’être polluants à la production, il est nécessaire de polluer pour le détruire.
Toutefois, il faut noter que le partage de l’information est devenu indispensable dans la société actuelle, notamment pour la facilité de transmission de l’information qui est un enjeu majeur
pour maintenant l’ensemble des acteurs économique. De plus, une mauvaise gestion des données pousse le stockage de données obsolètes par exemple. En revanche, l’avantage du numérique, est
qu’une fois que le document est numérisé, il est consultable par n’importe qui ayant accès à l’endroit où il est stocké du moment qu’il a en sa possession le matériel nécessaire.
</p>
<article>
<p>
La transmission d’information se repose sur 2 outils majeurs, une version papier et une version numérique. Toutefois, depuis peu, l’impact environnementale des systèmes d’informations peut être remis en question.
Pour cela, nous pourrons nous demander quel système d’informations a un plus grand impact écologique ?
</p>
</article>
<p>
Pour conclure, je pense que le format papier aurait un impact environnemental plus important que le numérique si l’on doit transmettre une information à très grande échelle, puisqu’il
serait nécessaire d’imprimer pour chaque individu recevant la même information, alors qu’il est tout à fait possible de consulter l’information sur un appareil numérique utilisé couramment
(tel qu’un téléphone/ ordinateur/ …). En revanche, pour la transmission d’information à petite échelle, il est plus judicieux d’utiliser une version papier, puisqu'utiliser un stockeur de donnée
pour une information que l’on ne souhaite pas archiver serait inutile. De plus, le papier est facilement recyclable.
</p>
<article>
<p>
Pour le format papier, les émissions de gaz à effet de serre (GES) sont dues à la déforestation et sur l'arrivée des produits nécessaires à la transformation, toutefois, ceux-ci varient
selon la gestion des forêts et de la provenance du papier. Il est donc vrai que pendant son processus de production, le papier est une source de pollution que l’on ne peut négliger.
L’avantage du papier, c’est qu’une fois la production passée, sa pollution est limitée puisqu’il est plus ou mon facile de le recycler,
donc pratique pour des partages d’informations à petite échelle, c’est-à-dire qui ne nécessite pas plusieurs exemplaires.
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Pour le format numérique, les GES sont dues aux datas center (permettant de stocker la donnée partagée), les infrastructures réseaux, les systèmes de refroidissement
de ses infrastructures (comprenant leurs consommation énergétique) et les équipements numériques des consommateurs. Pour la pollution numérique, il ne faut donc pas négliger la pollution
lors du processus de production du bien, la pollution engendrée pour la maintenance des produits utilisées et enfin, la pollution lorsque l’objet arrive en fin de vie, en effet,
beaucoup de matériels du numérique sont difficilement recyclables (batterie, …) et en plus d’être polluants à la production, il est nécessaire de polluer pour le détruire.
Toutefois, il faut noter que le partage de l’information est devenu indispensable dans la société actuelle, notamment pour la facilité de transmission de l’information qui est un enjeu majeur
pour maintenant l’ensemble des acteurs économique. De plus, une mauvaise gestion des données pousse le stockage de données obsolètes par exemple. En revanche, l’avantage du numérique, est
qu’une fois que le document est numérisé, il est consultable par n’importe qui ayant accès à l’endroit où il est stocké du moment qu’il a en sa possession le matériel nécessaire.
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Pour conclure, je pense que le format papier aurait un impact environnemental plus important que le numérique si l’on doit transmettre une information à très grande échelle, puisqu’il
serait nécessaire d’imprimer pour chaque individu recevant la même information, alors qu’il est tout à fait possible de consulter l’information sur un appareil numérique utilisé couramment
(tel qu’un téléphone/ ordinateur/ …). En revanche, pour la transmission d’information à petite échelle, il est plus judicieux d’utiliser une version papier, puisqu'utiliser un stockeur de donnée
pour une information que l’on ne souhaite pas archiver serait inutile. De plus, le papier est facilement recyclable.