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<!doctype html>
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<meta charset="utf-8">
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<title>SAE 1.06 - Accueil</title>
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<link rel="stylesheet" type="text/css" href="andymael_antoine_thomas.css">
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<body>
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<header>
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<h1>SAE 1.06</h1>
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</header>
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<nav id="flex-container">
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<a href="#top">Présentation</a>
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<a href="#carac">Caractéristiques demandeurs et offreurs</a>
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<a href="#acteurs">Acteurs économiques</a>
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<a href="#swot">S.W.O.T.</a>
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<a href="#emp">Empreinte carbone</a>
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<a href="#rendu">Mode de rendu</a>
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</nav>
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<div>
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<section id="presentation">
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<h2>Présentation</h2>
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<article>
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Notre entreprise de jeux de société est une PME de 40 collaborateurs. En effet, une entreprise qui comprend entre 10 et 249 salariés est considérée comme PME (Petites et Moyennes Entreprises).
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Son domaine d’activité est la prestation de service (location) puisque c’est dans la location que l’entreprise fait la majeure partie de son chiffre d’affaires.
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Son type de client se fait en B2B (Business to Business) c’est-à-dire d’entreprise à entreprise, mais aussi en B2C (Business to Consumer), c’est-à-dire, d’entreprise à consommateur (ménage).
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Sur le marché dans lequel elle intervient, elle est en situation d’oligopole bilatéral, c’est-à-dire qu’il y a peu d’entreprise qui peuvent la concurrencé pour quelques demandeurs pour toucher une clientèle restreinte.
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Son statut juridique est une SARL, c'est-à-dire une Société Anonyme à Responsabilité Limitée lui permettant de ne pas engager son patrimoine personnel du ou des dirigeant(s).
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<section id="carac">
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<h2>Caractéristiques des demandeurs et offreurs</h2>
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<article>
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<p>
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Pour rappel, un marché est un lieu réel ou fictif où se déroule l’échange d’un bien matériel et/ou immatérielle (bien, service, travail, capital, …).
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Dans notre cas, les caractéristiques des autres offreurs sont toutes des entreprises qui vont nous fournir nos jeux de société mais aussi les entreprises de livraison qui se chargeront de l’approvisionnement
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et de la livraison des locations ou réservations de nos clients. Ainsi, sur le marché de notre entreprise,
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les offreurs sont uniquement des entreprises (à l’inverse du marché du travail, les offreurs sont les demandeurs d’emploi).
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Les caractéristiques des autres demandeurs, pour cette partie, comme l’entreprise fait son chiffre d’affaires en B2B (entreprise à entreprise) et en B2C (entreprise à consommateur), les demandeurs sont donc
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les ménages (les particuliers), mais aussi les entreprises qui font appel à nous pour des évènements. Ce marché composé de divers offreurs et divers demandeurs nous amène à 2 courbes, une d’offre et une de demande.
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On dira que l’intersection de ses 2 courbes est le point d’équilibre entre l’offre et la demande, c’est-à-dire, le prix de vente le plus juste.
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</article>
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<article>
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<p>
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Pour aller plus loin dans notre étude de marché, il est intéressant de faire l’étude macro-économique dans laquelle l’entreprise se situe.
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En effet, étudier le marché global d’une entreprise lui permet d’avoir une vision d’ensemble du marché, prévoir les stratégies nécessaires, …
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Cela permettra de prévoir la tendance des secteurs, leurs évolutions et les comportements d’achats de la demande.
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Mais aussi de mieux connaître les restrictions et les acteurs tiers intervenant dans le marché que l’entreprise influence.
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C’est donc une étude de marché national puisque notre entreprise intervient uniquement en France, il est aussi possible de faire une étude micro-économique si l’entreprise cherche à étudier un secteur local.
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<p>
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Dans le cas de l’étude macro-économique, il faut faire un P.E.S.T.E.L (Politique, Economique, Social, Technologique, Environnement, Legal).
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Dans le cas de la politique, notre entreprise n’a pas d’influence particulière mais elle est protégée par toutes les lois françaises.
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En économique, l’entreprise bénéficie d’une économie française stable permettant d’avoir plusieurs demandeurs pour le bon fonctionnement et la pérennité de l’entreprise. En terme Social,
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les jeux de société sont plutôt bien insérés dans les normes et le quotidien des français.
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De plus, 1940 bébés sont nés en moyenne par jour en 2022 d’après l’INSEE
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( source : <a href="https://www.insee.fr/fr/statistiques/6671217?sommaire=5348638#graphique-figure1">https://www.insee.fr/fr/statistiques/6671217?sommaire=5348638#graphique-figure1</a>) malgré qu’il soit en baisse,
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un taux de natalité plutôt élevé est bénéfique pour l’entreprise puisque les jeux de société sont prisés pour les enfants.
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La Technologie permet à l’entreprise d’innover dans des jeux qui attirent une génération qui a baigné dans le numérique, mais aussi d’attirer d’autres clients.
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Pour l’environnement, nous aurons l’occasion de donner chacun notre avis dans le cas de la question individuelle numéro 3.
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Enfin d’un point de vue Légal, l’entreprise doit respecter le code et droit du travail français pour ses salariés.
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</p>
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<p>
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Dans le cas de l’étude micro-économique, il est nécessaire de faire une analyse de PORTER :
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<ul>
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<li>Quel est le pouvoir de négociation par rapport au client, ici, les particuliers n’ont pas vraiment le choix de négociation, en revanche, les entreprises elles ont une possibilité de réduction en fonction de leurs fidélités et de la quantité louer ou réserver.</li>
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<li>Quel est le pouvoir de négociation du fournisseur, ici le fournisseur est un acteur primordial pour le bon fonctionnement de l’entreprise. Ainsi le fournisseur de jeu de société a quand a lui une forte capacité de négociation.</li>
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<li>Les menaces de prestation ou de substitution des produits de l’entreprise. Ici, les jeux de société sont mis à disposition par d’autres entreprises, même si la concurrence est assez restreinte puisque nous sommes dans un oligopole bilatéral. Ainsi l’arrivée d’un nouvel entrant sur le marché est assez restreint puisque des grandes entreprises ont une place très importante laissant peu de place pour un nouvel arrivant.</li>
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</ul>
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</p>
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</article>
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</section>
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<section id="acteurs">
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<h2>Les acteurs économiques</h2>
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<article>
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<p>
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Il faut savoir que dans un marché, il n’y a pas que les entreprises qui interviennent. L’entreprise est considérée comme le cœur de la société de consommation puisqu’elle produit ou met
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à disposition des services, mais en seul acteur, elle n’est pas suffisante pour le bon fonctionnement d’un pays.
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</p>
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</article>
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<article>
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<p>
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Les ménages, sont des acteurs principaux au bon fonctionnement du marché, puisqu’en effet, les entreprises de production de bien matériel ou immatériel,
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vont principalement répondre à la demande des ménages. Ce sont eux, qui vont faire fonctionner le marché. Si les ménages n’ont pas de pouvoir d’achat, alors ils ne consomment pas,
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s’ils ne peuvent pas consommer, alors les entreprises sont obligées de stocker. L’entreprise produit donc à perte, et fera faillite.
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</p>
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</article>
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<article>
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<p>
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Nous avons tout d’abord les Institutions qui vont jouer un rôle fondamental sur le marché, en effet, l’Etat permet une régulation de l’économie de marché à la suite de politiques de concurrence pour limiter les abus de position dominante et essaye d’instaurer une équité de marché.
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Pour cela, elle va avoir recourt :
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</p>
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<ul>
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<li>« Droit de consommation », qui va protéger le consommateur contre les abus tel que les publicités mensongères</li>
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<li>« Droit de concurrence », qui va assurer une concurrence loyale sur les marchés</li>
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<li>« Droit de propriété », qui garantit par l'Etat, de choisir les usages d’un bien économique. Le propriétaire d’un bien se voit reconnaître le droit d’utilisation, d’en retirer un revenu, ou encore d’en disposer.</li>
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<li>Pour assurer le droit de propriété, l’Etat peut proposer aux entreprises, de breveter un bien matériel ou immatériel, permettant de protéger une innovation de la concurrence. Ceci permet de pousser les entreprises à innover et d’acquérir un pouvoir de marché, tout en s’assurant que le bien soit protégé de la concurrence.</li>
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</ul>
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</article>
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<article>
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<p>
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Les Banques vont assurer l’aspect économique et financier des marchés. En effet, les Banques vont accorder des crédits de consommation, innovations, recherche aux entreprises.
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Ceux-ci peuvent leurs permettre d’augmenter le facteur de production et ainsi accroître leur production pour essayer d’être plus attractif sur le marché.
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Mais les banques vont aussi jouer un rôle fondamental sur la consommation des ménages, puisque celles-ci peuvent accorder des crédits à la consommation, pour inciter les ménages à la consommation.
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</p>
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</article>
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<article>
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<p>
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Enfin, les compagnies d’assurance vont couvrir des événements pour des acteurs économiques (entreprise, ménages) cotisant pour les événements.
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</p>
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</article>
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</section>
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<section id="swot">
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<h2>Représentation du SWOT sous forme de tableau</h2>
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<table id="tabswot">
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<thead>
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<tr>
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<td>Forces :
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<ul>
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<li>Diversification des produits</li>
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<li>Site internet clair et lisible en cas de première venue pour ne pas faire fuir le client</li>
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<li>Démarche RSE : volonté de l’entreprise de se démarquer de la concurrence en tenant compte de l’impact écologique qu’elle produit.</li>
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<li>Diversité de la clientèle ; l’entreprise cherche à toucher un segment de population de tout âge et de toute génération</li>
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<li>Bonne gestion des stocks et des commandes via la base de données</li>
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</ul>
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|
</td>
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<td>Faiblesses :
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<ul>
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<li>Dépendance du service numérique pour assurer la fiabilité de nos services</li>
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</ul>
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</td>
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|
|
</tr>
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|
|
<tr>
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|
<td>Opportunités :
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<ul>
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<li>Attention du consommateur sur la qualité des produits (Made in France, Artisanat)</li>
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<li>Confinement ⇒ bond des ventes dues aux livraisons à domicile</li>
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<li>Collaboration avec des prestataires de livraison reconnus (Colissimo)</li>
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<li>Digitalisation des jeux de sociétés pour attirer une clientèle plus large dont la nouvelle génération</li>
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<li>Diversité de la clientèle ; l’entreprise cherche à toucher un segment de pop de tout âge et de toute génération</li>
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<li>Intervention de l’état (pass culture, pass région) pour permettre aux jeunes générations d’accéder au bonheur</li>
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</ul>
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|
|
</td>
|
|
|
<td>Menaces :
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<ul>
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<li>Problème numérique, pas d’outils numérique fiable</li>
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<li>Révolution numérique ; l’entreprise ne pas doit perdre le fil pour se faire manger par la concurrence par des entreprises étrangères</li>
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<li>L’inflation va jouer sur le coût des matières premières, il faudra revoir le cout des produits et potentiellement restreindre sa clientèle</li>
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<li>Dépendance des prestations de livraison car elles ont une capacité de négociation très forte(Pénurie de carburant, montée des prix, inflation de carburant, etc.…)</li>
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<li>Arrivé d’un nouveau concurrent bien que l’entreprise soit bien implantée en France et qu’elle domine un marché, elle n’est pas à l’abri d’un concurrent qui arrive dans le marché.</li>
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<li>Nouvelles lois, nouvelles normes, pas à l’abri que les institutions instaurent une nouvelle loi contraignant le marché</li>
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|
|
</ul>
|
|
|
</td>
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|
|
</tr>
|
|
|
</thead>
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|
|
</table>
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</section>
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<section id="emp">
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<h2>Notre empreinte carbone</h2>
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<h3>Andy-Maël</h3>
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<article>
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<p>
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Pour mesurer l'empreinte carbone de notre entreprise, il faut d'abord commencer par les émissions de gaz à effet de serre (GES) de l'entreprise.
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En effet, il est primordial que son empreinte carbone ne soit pas excessive afin de respecter les normes environnementales et de ne pas consommer
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trop d'énergie.
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D'une part, on mesure l'empreinte carbone émise par l'entreprise ; comme par exemple la consommation d'électricité : il est nécessaire d'avoir de l'électricité
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car notre entreprise dépend du numérique, dont notre base de données et notre site Web. Il faut donc mesure sa consommation pour permettre de juger son bilan énergétique.
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D'autre part, on pourrait inclure les consommations qui ne viennent pas de notre entreprises mais que l'on doit quand même prendre en compte pour permettre de garder
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une bonne image sur le plan environnemental, comme par exemple les émission de GES des prestataires de livraison en fonction de leur véhicule.
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Pour conclure, lorsque l'on mesure les émissions de GES de notre entreprise, on doit à la fois mesurer nos propres consommations ainsi que les consommations de nos partenaires,
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afin de juger le bilan carbone de notre entreprise.
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</p>
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</article>
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<h3>Antoine</h3>
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<article>
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<p>
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Il est nécessaire de prendre en compte de nombreux éléments afin d’évaluer l’empreinte carbone de notre entreprise de jeux de société :
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Tout d’abord, les émissions de gaz à effet de serre (GES), qu’elles soient directes ou indirectes, elles vont nous permettre d’avoir déjà
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une vue globale de l’entreprise au niveau de son empreinte carbone.
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De plus, il est indispensable de connaître la provenance des énergies consommées par l’entreprise. Par exemple, l’utilisation de sources d’énergies renouvelables
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ou de technologies propres (utilisation de technologies les moins consommatrices) montreront que l’entreprise s’implique dans sa démarche RSE (Responsabilité Sociétale de l’Entreprise).
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Ajoutons à cela les initiatives prises par l’entreprise pour réduire sa consommation. L’entreprise cherche-t-elle à réduire sa consommation d’énergies et
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ses émissions de GES. Par exemple, l’utilisation futile de l'électricité, l'efficacité énergétique de ces équipements qui font eux aussi partis de la démarche RSE de l’entreprise.
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Enfin, l’entreprise doit mettre en place des stratégies en matière de durabilité et ainsi lutter contre le changement climatique. C’est pour cela qu’elle doit être
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transparente vis-à-vis de ses consommateurs en matière de rendus de ses consommations et d’émissions, ainsi que de ses efforts pour réduire son empreinte carbone.
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Pour conclure, les éléments principaux à prendre en compte pour juger l’empreinte carbone de l’entreprise dans laquelle nous travaillons sont
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les émissions de GES, la provenance des énergies consommées par l’entreprise ainsi que son implication pour sa démarche RSE.
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</p>
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</article>
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<h3>Thomas</h3>
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<article>
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<p>
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Selon moi, pour juger l’empreinte carbone de l’entreprise, il est nécessaire de prendre plusieurs paramètres en compte. En effet, pour mesurer une empreinte carbone,
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on va se baser sur la production de GES (gaz à effets de serre) et ainsi définir un bilan carbone de l’entreprise. Pour définir ce bilan carbone,
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il faut se poser la question, durant tout son processus de production, quels sont les moyens ou les ressources prises par l’entreprise qui émet du CO2 ?
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Dans notre cas, comme nous sommes une entreprise de location et de réservation de jeux de société, nous devons prendre en compte dans nos émissions de GES,
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les consommations intermédiaires, tels que l’électricité, l’eau, … Puisque, si l’entreprise d’une part n’utilise pas de l’énergie verte, alors son empreinte carbone
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sera plus importante, mais surtout si l’entreprise se permet d’avoir une consommation gourmande, alors son empreinte carbone sera plus élevée. Toutefois,
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ceci correspond aux émissions que l’entreprise fait de manière directe. Selon, moi il faut aussi prendre en compte les choix des partenaires de l’entreprise.
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Si nous commençons, en bas de notre chaine de production c’est-à-dire, les jeux de société, notamment grâce à notre collaboration avec Hasbro, voir si nous avons
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donc pas un fournisseur dont sont bilan carbone est trop élevé. Ou encore, pour notre service de livraison, si l’entreprise prestataire est une entreprise qui
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se permet de livrer avec des véhicules plus ou moins polluants jouera aussi sur l’entreprise carbone de notre entreprise.
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Pour conclure, je pense que l’empreinte carbone d’une entreprise doit avant tout se mesurer au sein de son propre processus de production, mais aussi,
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doit tenir des émissions indirectes fait par ses partenaires et collaborateurs. Sinon il serait bien trop facile pour une entreprise de déléguer ses activités
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polluantes à des prestataires, et de se prétendre comme une entreprise non polluante alors que son activité globale détient un bilan carbone des plus désastreux.
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</p>
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</article>
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</section>
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<section id="rendu">
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<h2>Mode de rendu</h2>
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<h3>Andy-Maël</h3>
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<article>
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<p>
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Si l’on se réfère à rendre un dossier à destination d’une seule personne, nous verrons qu’il y a une méthode parmi les deux qui est la moins polluante.
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</p>
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</article>
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<article>
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<p>
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Le numérique pourrait être un avantage par rapport au papier car non seulement il n’y a pas d’exploitation de ressources naturelles nécessaires comme les arbres
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mais le dossier sera consultable sous format numérique, facilement, à tout moment. En revanche, le point noir est l’équipement nécessaire à l’envoi de ce dossier.
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En effet, un serveur est requis afin de traiter notre demande, ce qui utilise beaucoup d’énergie et émet une quantité très élevée de GES, soit plus de 1000 eq kgCO2 pour la fabrication et plus de 3000 eq kgCO2 pour l’usage.
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D’autant plus, ces machines ne durent que 7 ans donc le recyclage en fin de vie sera difficile.Le numérique pourrait être un avantage par rapport au papier car non seulement
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il n’y a pas d’exploitation de ressources naturelles nécessaires comme les arbres mais le dossier sera consultable sous format numérique, facilement, à tout moment.
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En revanche, le point noir est l’équipement nécessaire à l’envoi de ce dossier. En effet, un serveur est requis afin de traiter notre demande, ce qui utilise beaucoup d’énergie et
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émet une quantité très élevée de GES, soit plus de 1000 eq kgCO2 pour la fabrication et plus de 3000 eq kgCO2 pour l’usage. D’autant plus, ces machines ne durent que 7 ans donc le recyclage en fin de vie sera difficile.
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</article>
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<article>
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<p>
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En ce qui concerne le papier son avantage est tout simplement le fait que nous n’ayons pas besoin d’autant d’infrastructure comme des serveurs pour rendre notre dossier.
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En effet, même si la réception de nos papiers passe par l’exploitation des arbres dans des zones, le papier reste un matériel facilement recyclable contrairement à un serveur.
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Bien que le format numérique rende la consultation du dossier d’une manière plus facile, la méthode papier permettra de faire donc des économies en matière d’émission de GES.
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En ce qui concerne le papier son avantage est tout simplement le fait que nous n’ayons pas besoin d’autant d’infrastructure comme des serveurs pour rendre notre dossier.
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En effet, même si la réception de nos papiers passe par l’exploitation des arbres dans des zones, le papier reste un matériel facilement recyclable contrairement à un serveur.
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Bien que le format numérique rende la consultation du dossier d’une manière plus facile, la méthode papier permettra de faire donc des économies en matière d’émission de GES.
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</p>
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</article>
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<article>
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<p>
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Cependant, si l’on se réfère à chaque groupe qui rend leur dossier à une personne, dans ce cas-là, le format numérique est plus efficace car cela évitera d’avoir trop de papiers
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et de pouvoir donc facilement consulter chaque dossier sur un seul et même ordinateur, rendant ainsi la tâche moins fastidieuse.
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</p>
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</article>
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<h3>Antoine</h3>
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<article>
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<p>
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De nos jours, bien que le papier se fait remplacer peu à peu par des versions numérisées de celui-ci, il s’agit de se demander
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si une telle conversion de nos supports d’écriture, moyen de communications est bénéfique pour notre environnement et notre planète.
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</article>
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<article>
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<p>
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D’une part, le papier est un fort consommateur de bois (matière première permettant la création du papier), à cela s’ajoute toutes
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les énergies permettant l’extraction du bois ainsi que sa transformation en papier. Ce qui nécessite de nombreuses machines.
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Cependant, son usage peut être multiple et réutilisable (recyclage du papier). On peut donc en conclure que le papier est un
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gros demandeur en bois et en énergie pour le produire (plus la quantité de papier fabriqué augmente, plus les émissions de GES
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sont importantes), mais il peut être réutilisable et peut avoir une utilisation variée. Ce qui fait de lui un bon produit pour
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de faibles quantités car lorsque sa quantité augmente sa consommation en énergie augmente en conséquence.
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</article>
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<article>
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<p>
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D’autre part, le format numérique est lui un fort consommateur en énergie électrique lors de son fonctionnement. Une forte émission
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de CO2 lors de sa production et de son fonctionnement est rejetée mais cela reste convenable en fonction de la quantité de formats
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numériques qui y transitent dans les datas center (locaux de serveurs). L’énergie consommée étant principalement due à la consommation
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des serveurs et à leurs refroidissements. On peut donc en conclure que le format numérique serait plus adapté pour des plus gros échanges
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car sa consommation varie peu en fonction de la quantité qui y transite.
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</p>
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En conclusion, selon moi le papier serait plus adapté pour des échanges de petites envergures car sa consommation dépend de sa quantité
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produite. De plus les différentes possibilités de celui-ci et notamment son recyclage lui permet une réutilisation à moindre coût de
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consommation. Cependant, ce passage au numérique peut être bénéfique et notamment dans les cas de grandes distributions du même papier
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car sa consommation varie peu en fonction des données qui y transitent.
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<h3>Thomas</h3>
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La transmission d’information se repose sur 2 outils majeurs, une version papier et une version numérique. Toutefois, depuis peu, l’impact environnementale des systèmes d’informations peut être remis en question.
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Pour cela, nous pourrons nous demander quel système d’informations a un plus grand impact écologique ?
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Pour le format papier, les émissions de gaz à effet de serre (GES) sont dues à la déforestation et sur l'arrivée des produits nécessaires à la transformation, toutefois, ceux-ci varient
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selon la gestion des forêts et de la provenance du papier. Il est donc vrai que pendant son processus de production, le papier est une source de pollution que l’on ne peut négliger.
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L’avantage du papier, c’est qu’une fois la production passée, sa pollution est limitée puisqu’il est plus ou mon facile de le recycler,
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donc pratique pour des partages d’informations à petite échelle, c’est-à-dire qui ne nécessite pas plusieurs exemplaires.
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Pour le format numérique, les GES sont dues aux datas center (permettant de stocker la donnée partagée), les infrastructures réseaux, les systèmes de refroidissement
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de ses infrastructures (comprenant leurs consommation énergétique) et les équipements numériques des consommateurs. Pour la pollution numérique, il ne faut donc pas négliger la pollution
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lors du processus de production du bien, la pollution engendrée pour la maintenance des produits utilisées et enfin, la pollution lorsque l’objet arrive en fin de vie, en effet,
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beaucoup de matériels du numérique sont difficilement recyclables (batterie, …) et en plus d’être polluants à la production, il est nécessaire de polluer pour le détruire.
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Toutefois, il faut noter que le partage de l’information est devenu indispensable dans la société actuelle, notamment pour la facilité de transmission de l’information qui est un enjeu majeur
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pour maintenant l’ensemble des acteurs économique. De plus, une mauvaise gestion des données pousse le stockage de données obsolètes par exemple. En revanche, l’avantage du numérique, est
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qu’une fois que le document est numérisé, il est consultable par n’importe qui ayant accès à l’endroit où il est stocké du moment qu’il a en sa possession le matériel nécessaire.
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Pour conclure, je pense que le format papier aurait un impact environnemental plus important que le numérique si l’on doit transmettre une information à très grande échelle, puisqu’il
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serait nécessaire d’imprimer pour chaque individu recevant la même information, alors qu’il est tout à fait possible de consulter l’information sur un appareil numérique utilisé couramment
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(tel qu’un téléphone/ ordinateur/ …). En revanche, pour la transmission d’information à petite échelle, il est plus judicieux d’utiliser une version papier, puisqu'utiliser un stockeur de donnée
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pour une information que l’on ne souhaite pas archiver serait inutile. De plus, le papier est facilement recyclable.
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SAÉ présentée par : RANDRIANASOLO Andy-Maël, MUZARD Thomas et PEREDERII Antoine
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