L’idée n’est pas tant de défendre le CEA en lui-même (bien que cela pourrait faire sens) mais plutôt de breveter des solutions de sécurité à destination des entreprises françaises.
Ainsi, nous développons une méthode d’analyse outillée que nous pourrons ensuite vendre dans le cas de contrats bilatéraux.
Un exemple classique d’attaque est Stuxnet, un virus ayant touché les centrales d’enrichissement d’uranium Iraniennes en 2010.
Lisez la section 1.4, mais l’ensemble de l’intro peut vous aider pour la suite.
Bonne lecture
# Réponse prof
Ok, je comprends.
L’idée n’est pas tant de défendre le CEA en lui-même (bien que cela pourrait faire sens) mais plutôt de breveter des solutions de sécurité à destination des entreprises françaises.
Ainsi, nous développons une méthode d’analyse outillée que nous pourrons ensuite vendre dans le cas de contrats bilatéraux.
Un exemple classique d’attaque est Stuxnet, un virus ayant touché les centrales d’enrichissement d’uranium Iraniennes en 2010.
L’objectif était de saboter les centrifugeuses.
Vous trouverez plus d’infos dans ce document : https://maxime.puys.name/publications/pdf/phdThesisMaximePuys.pdf
Lisez la section 1.4, mais l’ensemble de l’intro peut vous aider pour la suite.
Bonne lecture
Réponse prof
Ok, je comprends.
L’idée n’est pas tant de défendre le CEA en lui-même (bien que cela pourrait faire sens) mais plutôt de breveter des solutions de sécurité à destination des entreprises françaises.
Ainsi, nous développons une méthode d’analyse outillée que nous pourrons ensuite vendre dans le cas de contrats bilatéraux.
Un exemple classique d’attaque est Stuxnet, un virus ayant touché les centrales d’enrichissement d’uranium Iraniennes en 2010.
L’objectif était de saboter les centrifugeuses.
Vous trouverez plus d’infos dans ce document : https://maxime.puys.name/publications/pdf/phdThesisMaximePuys.pdf
Lisez la section 1.4, mais l’ensemble de l’intro peut vous aider pour la suite.
Bonne lecture