Notre entreprise propose ses services à de très nombreuses entreprises et particuliers. Nous ne sommes pas la première entreprise à se tourner vers ce marché et nous ne serons pas non plus les derniers. Ainsi nous sommes en concurrence avec un grand nombre d’autres loueurs en ne prenant en compte que le territoire français. Le grand nombre d’offreurs et le grand nombre de demandeurs place notre entreprise dans la catégorie de marché de concurrence parfaite.
Lors de notre installation dans le marché de la location, nous avons pris soin de pouvoir étendre notre éventail de demandeurs potentiels. Ainsi nous avions pour objectif premier la location à destination d’entreprises. Les entreprises cherchent des véhicules selon différents cas de figure : principalement des voitures de fonction avec des modèles de plus ou moins prestigieux en fonction des professions exercées. Nous devions également tenir compte que certaines de ces professions nécessitent de faire des voyages fréquents et sur de longues distances. Les entreprises peuvent également demander d’autres véhicules plus exotiques. Ces véhicules étant moins souvent demandés nos investissements sur ces derniers sont plus restreints mais seront amenés à évoluer dans le futur. En règle générale, les entreprises sont plus enclines à mettre le prix nécessaire pour avoir accès au matériel qui répond le mieux à leurs besoins.
Cependant, les entreprises ne sont pas les seuls demandeurs. En effet, les particuliers émettent aussi un besoin de voiture de location. Ce besoin se manifeste le plus souvent pour partir en voyage, de petits véhicules peuvent convenir mais également des véhicules capables de transporter en plus gros volume et avec des fonctionnalités tel que la climatisation. Ces véhicules sont également intéressants pour des cas de figure comme les déménagements. Nous devons également prendre en compte que les particuliers ont bien souvent un budget plus limité pour la location.
En ce qui concerne les offreurs de services, nous sommes en concurrence avec un nombre important de concurrents. Ces concurrents ont des poids variés sur le marché. Cependant nous pouvons retenir que les offreurs vont chercher à maximiser les profits en diversifiant leur catalogue de location, tout en cherchant à adapter les tarifs de location. Les offreurs peuvent également se démarquer des autres en offrant une meilleure prestation pour ces services.
Notre entreprise met en location des véhicules mais ne les produit pas. Nous faisons appel à des fournisseurs de différents types qui vont nous procurer les véhicules (aussi bien les constructeurs que des revendeurs professionnels ou particuliers) qui sont donc concernés par notre activité. Ensuite, nous devons nous assurer du bon entretien des véhicules. C’est pour cela que même si nous ne disposons pas des capacités permettant de faire l'entretien des véhicules nous mêmes nous faisons sous-traiter ces fonctions à des entreprises spécialisées.
Finalement, nous sommes amenés à nous séparer de nos véhicules quand ils sont trop vieux ou que leur état
n’est pas améliorable.
Pour ce faire nous pouvons tenter de revendre le véhicule (ici encore à des professionnels ou des
particuliers) et finalement de les amener au recyclage en dernier recours, où nous serons éventuellement
amenés à payer pour la prise en charge des véhicules.
Le milieu de la location de véhicules est un milieu complexe. Tout d’abord c’est un milieu qui dispose d’indéniables forces : les véhicules une fois loués coûtent peu à entretenir et peuvent rapporter beaucoup d’argent à la location sur le long terme, c’est un business modèle qui évolue de façon assez simple une fois qu’une entreprise est installé dans le domaine mais du même temps c’est un milieu suffisamment dur d’accès (les coûts de départ dans la location de véhicules sont bien plus conséquents que pour d’autres marchés) pour prévenir l’apparition soudaine d’une nouvelle concurrence, éléments qui permettent, avec l’importance de la voiture dans notre société, d’assurer à notre entreprise une situation stable et pérenne.
Néanmoins notre modèle a des faiblesses et des menaces que nous ne pouvons pas ignorer. En effet, bien que la voiture reste une partie importante de la société dans laquelle nous vivons, cette société évolue : la progression de la conscience écologique pousse les gens à réfléchir plus à leurs déplacements et les villes évoluent en conséquence, ce qui relègue de plus en plus les véhicules individuels au second plan des moyens de déplacement. De plus, l'inflation et l’évolution du coût de la vie en général pourraient dissuader les consommateurs et faire baisser les chiffres de la location de véhicules.
Cependant nous ne pensons pas que l’avenir de la location de voitures soit sans opportunités : de par la mondialisation les gens voyagent de plus en plus ce qui dissuade de plus en plus de gens, si ce n’est à ne pas avoir de véhicule, au moins à en louer d’autres plus souvent, de plus, la technologie évolue rapidement et les nouvelles technologies sont propices à éveiller l’intérêt du consommateur, si nous savons nous adapter et tirer profit de ces nouvelles technologies nous pouvons envisager de perpétuer nos profits encore longtemps.
Forces | Faiblesses |
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Opportunités | Menaces |
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Pour pouvoir évaluer notre empreinte carbone nous devons prendre en compte l’aspect énergétique de l'entreprise en elle-même : c’est-à-dire l’énergie que nous consommons pour faire fonctionner l’entreprise comme l’éclairage mais aussi l’énergie que nous consommons pour faire fonctionner nos services. Dans le cas présent il s’agirait de l'électricité et le matériel utilisé par notre site web ainsi que la taille et la complexité des bases de données que nous utilisons. De plus, le transport se montre véritablement être de plus en plus un défi pour l’humanité en général. En effet, nous devons prendre en compte toute le cycle de vie des véhicules. La production à chaque étape signifie avoir un impact sur l’environnement. Ainsi les matériaux nécessaires à la fabrication, particulièrement les énergies nécessaires pour les faire fonctionner, les ressources nécessaires à un bon entretien des véhicules et finalement les ressources nécessaires et le taux de recyclabilité des matériaux composant les véhicules sont très importants pour pouvoir juger de l’empreinte carbone. Finalement nous pouvons aussi nous intéresser à la minimisation de l’impact écologique précédent par rapport à l’apport de la réutilisation des véhicules.
Étant donné que nous gérons une entreprise de location de voiture, pour juger l’empreinte carbone de notre entreprise nous devons prendre en compte la consommation d’essence de chaque véhicule. Il faut aussi prendre en compte comment nous gérons la fin de vie de nos véhicules dans l’empreinte carbone (récupération des pièces détachées, recyclage des véhicules …) et combien d'émissions provoquent le démantèlement des véhicules une fois que nous nous en débarrassons. Le stockage des données recueillies par notre entreprise est une autre part non négligeable de l'empreinte carbone qu’a l’entreprise au global car stocker des données numériques ne va pas sans un coup environnemental.
Pour évaluer notre empreinte carbone, nous devons prendre en compte l'impact environnemental de notre entreprise dans son ensemble avec par exemple l'énergie nécessaire pour maintenir notre site web et nos bases de données.
Nous devons également tenir compte de l'impact environnemental de ce que nous proposons à la location. Il faut prendre en compte tout le cycle de vie des véhicules, de la production à l'utilisation en passant par le recyclage des matériaux.
Cela signifie notamment évaluer les énergies utilisées pour produire et utiliser les véhicules,
les ressources nécessaires pour les entretenir et si on peut recycler les matériaux qui les composent.
Tout d'abord afin de juger l'empreinte carbone mon entreprise je regarderai notre façon de louer nos véhicules en commençant par compter le nombre de nos véhicules, de quelle manière nous les stockons, quelle est leurs anciennetés mais aussi leurs empreintes carbones ainsi je pourrais faire une moyenne de base de notre empreinte carbone car cela touche le principe même de notre entreprise.
Ensuite je regarderai notre empreinte au niveau de nos salariés : leurs nombres, leurs moyens de transport qui peut être du plus polluant : une voiture par personne au moins polluant avec du covoiturage, ou l'utilisation de transport en commun. En analysant aussi leurs distances entre leurs domiciles et le travail, et voir aussi s’il y a une quelconque forme de télétravail.
Après je me tournerai vers nos serveurs hébergeant notre site web en testant l'état des serveurs, voir quels types de données nous stockons, si on les trie et supprime celles qui sont inutiles ou non.
Mais je regarderai aussi l'optimisation de nos serveurs et surtout la facilité d'accès et de manipulation de notre site pour l'utilisateur afin qu'il envoie un minimum de requête pour alléger l’utilisation de nos serveurs.
Enfin je finirai par calculer notre gestion de fournitures nécessaire à l'entreprise en vérifiant principalement leur écoresponsabilité c'est-à-dire là où elles sont fabriquées ? comment ? es ce qu'elles sont renouvelables et leurs trajets avant d'arrivées à nous.
Ainsi je pense que je pourrais avoir assez d'élément pour faire une bonne estimation de l'empreinte carbone de mon entreprise, ce qui me permettra par la suite d'envisager des moyens à mettre en place pour réduire un maximum les zones où il y a les plus mauvais résultats.
Les deux modes de rendu cités ont un impact environnemental. En ce qui concerne le format papier, nous devons prendre en compte que le papier est communément fait à partir de fibres végétales ("pâte de bois”) qui nécessite des ressources végétales en premier lieu mais aussi d’une grande quantité d’eau. Vient ensuite l’impact environnemental de fabrication de l'encre qui est utilisée. Il y a aussi l’impact environnemental de l’imprimante lors de sa fabrication mais aussi pendant qu’elle est en service : l’énergie lors de l'impression mais aussi en état de veille.
Pour le format numérique, nous devons prendre en compte l’impact environnemental des serveurs et leurs stockage, les ressources pour les fabriquer et l’énergie pour les alimenter. La voie numérique nécessite aussi de l’énergie pour transférer les documents des serveurs aux clients et inversement, que ce soit des documents textes, vidéos ou des sites web. Nous pouvons aussi nous intéresser dans une certaine mesure au format utilisé, la ‘facilité’ de traitement pour la machine de ce format et de sa taille. Par exemple, le PDF qui est bien plus gros que la source au format traitement de texte, la vidéo qui est de loin le pire des supports en termes de taille et de ressources calculatoires.
Pour pouvoir comparer les deux types de supports, nous devons y intéresser sur le long terme : là où la version papier peut avoir un impact un peu plus important initialement, le numérique sera le plus impactant sur le long terme à cause de l’énergie nécessaire pour que les documents restent toujours accessibles, tout en prenant en compte la manière dont est produite l’électricité.
Le format papier est un format auquel nous sommes sensibilisés depuis déjà longtemps, en effet depuis notre enfance nous sommes tous exposés au fait que le papier a un impact sur l’environnement à travers la coupe des arbres nécessaires, et couper des arbres a forcément un impact environnemental non négligeable. De plus, il faut aussi prendre en compte ce que devient ce format une fois qu’on le jette, heureusement le papier est un format très recyclable. Le numérique quant à lui est un format bien plus récent sur lequel la plupart des gens ne sont pas suffisamment correctement informés, en effet contrairement à ce que pourrait penser les gens au premier abord, le rendu numérique s’avère avoir un impact environnemental plus fort. En effet quand bien même le numérique ne requiert pas d’utilisation de papier et donc n’implique pas de couper des arbres, il y a d’autres impacts environnementaux plus subtils comme le coût en électricité qui est un enjeux environnemental de plus en plus important mais aussi l’impact qu’ont le stockage des données et les serveurs. Le rendu numérique implique l’envois d’un mail qui sera stocké sur un serveur et qui nécessite de l’électricité pour être envoyé, un site internet qui nécessite de l’électricité pour être conçu ainsi que de l’espace de stockage pour être gardé et une vidéo nécessite un espace de stockage conséquent dû à ce format et de l’électricité pour l'enregistrer et la monter. Ainsi même si le rendu papier n’est pas sans impact, le rendu numérique s’avère avoir un plus gros impact sur l’environnement.
Pour évaluer l'empreinte environnementale d'un dossier numérique et d'une version papier, il faut prendre en compte plusieurs éléments.
Pour le dossier numérique, il faut considérer l'énergie nécessaire pour produire et utiliser l'appareil (ordinateur, tablette, smartphone) sur lequel il sera consulté, ainsi que celle utilisée pour le stockage et le transfert des données. Il faut également tenir compte de l'impact environnemental de la production de l'appareil et de son cycle de vie (fabrication, utilisation, recyclage).
Pour le dossier papier, il faut évaluer l'impact environnemental de la production du papier (foresterie, transformation), de son transport et de sa distribution, ainsi que de son utilisation (impression) et de son recyclage ou de son élimination.
Il est donc difficile de déterminer avec certitude quel mode de rendu à l'empreinte environnementale la plus faible. Car cela dépend de nombreux facteurs et variables.
Pour estimer l'empreinte environnementale de productions telles qu'une vidéo ou un site web, il faut prendre en compte l'ensemble des ressources nécessaires à leur production, distribution et utilisation.
Pour la vidéo, cela peut inclure l'énergie utilisée pour la création et le montage, ainsi que l'impact environnemental de la diffusion de la vidéo (en streaming sur internet ou hébergé sur un plateforme comme Youtube). Pour un site web, il faut évaluer l'impact environnemental de la création et de la mise en ligne du site, de son hébergement et de sa consultation par les utilisateurs. Il faut également prendre en compte l'impact environnemental des appareils utilisés pour accéder au site (ordinateurs, smartphones, etc.) Malgré le fait que nous allons rendre les fichiers source du site web.
Il existe plusieurs modes de rendu tels qu’un rendu physique sur papier, via le stockage du travail dans un disque dur externe tel qu’une simple clé usb ou encore par l’envoie d’un mail qui contient le travail en pièce jointe tous ont leurs avantages et défaut.
Par exemple pour le rendu physique il faut prendre en compte le papier fabriqué qui utilise beaucoup d’eau et qui demande également des ressources comme le bois ces ressources ont l’avantages d’être renouvelables et totalement naturelles mais leurs modes de fabrications nécessitent également de faire fonctionner des machines qui elles consomme d’autres ressources qui sont bien souvent fossiles tel que l’essence. A cela il faut aussi ajouter le matériel pour écrire même s’il est très mineur car s'use très lentement.
Pour le stockage par disque dur externe le principale avantage est qu’il est ‘infini’ lorsqu’on effectue de la libération de mémoire et ainsi on peut se dire qu’il représente le rendu parfait mais il faut prendre en compte la création de ces disques qui demande des terres-rares et leurs extractions ont une très grande empreinte environnementale.
Enfin pour le rendu par mail cette fois-ci le problème est au niveau des serveurs de gestion des boîtes mails qui consomment de l’énergie, et son empreinte dépend plus des utilisateurs qui bien souvent ont énormément de mails qu’ils gardent inutilement et qui surchargent alors les bases de stockages.
De plus, pour ces deux dernières techniques de rendu, il faut aussi prendre en compte les logiciels que l’on va utiliser pour effectuer nos travaux car certains ont une plus grande empreinte que d’autres.
Pour conclure, il faut surtout essayer de minimiser les étapes où l’empreinte carbone est forte dans le mode de rendu que l’on a choisi car comme on vient de voir, aucun d’entre eux ne présente une empreinte environnementale nulle.
Pour les autres productions demandées, comme dit précédemment, il faut prendre en compte les logiciels utilisés. Par exemple, un travail effectué sur un site de partage de document sera forcément plus impactant qu’un simple fichier sur une machine. Mais aussi, pour le site web il va falloir un site très simple qui n’affiche pas de choses inutiles et il faudra qu’il soit optimisé afin qu’il ne consomme pas trop de données.