En fonction de la structure de marché et des besoins des demandeurs, il existe en effet d’autres acteurs économiques qui peuvent être concernés par notre activité de location de matériel de concert :

Les producteurs de matériel de concert :

impliqués dans la production et la distribution de matériel de concert, ils peuvent être sollicités par notre entreprise de location de matériel pour acheter du matériel neuf ou d'occasion, ou par les clients qui peuvent acheter du matériel directement auprès de eux.

Les clients :

ils peuvent être les organisateurs d'événements ou des artistes qui utilisent le matériel de concert mis à leur disposition, et ont pour objectif et rôle d’acheter ou, dans notre cas, de louer du matériel.

Les assureurs :

ils peuvent proposer des assurances pour couvrir les risques lors de l'utilisation du matériel de concert (par exemple, les dommages causés par les clients, les vols, les incendies, etc.). Ils peuvent donc travailler avec les entreprises de location de matériel, qui veulent couvrir leurs propres risques (vols, incendies, etc…), ou avec les clients qui voudront s'assurer contre les risques liés à l'utilisation du matériel.

Les prestataires de services logistiques :

ils peuvent être responsable du transport, du stockage du matériel de concert et de son installation ou son démontage sur les lieux d'événement. Ils peuvent être sollicités par les entreprises de location de matériel pour assurer ces services, ou par les clients pour les aider dans l’installation ou le démontage.

Les prestataires de services de maintenance et de réparation :

À la fois fonction de support logistique et centre opérationnel, ils ont pour rôle l'entretien et la réparation du matériel de concert.

Les représentants de l'État et des collectivités territoriales :

ils permettent aux entreprises de location de matériel d’obtenir des autorisations par exemple, et permettent aux clients d’obtenir des aides financières.

Les organisations professionnelles et syndicales :

ces organisations permettent aux entreprises de défendre leurs intérêts des entreprises de location de matériel de concert et ceux de leurs salariés ou prestataires.

Les médias et les réseaux sociaux :

ils peuvent être utilisés par les entreprises de notre secteur d’activité afin de faire de la publicité et de la communication, ou par les clients pour s'informer et contacter les entreprises.

Il y a donc de nombreux acteurs économiques qui peuvent être impliqués dans l'activité de location de matériel de concert, en fonction de la structure de marché et des besoins des demandeurs. Chacun de ces acteurs peut jouer un rôle plus ou moins important dans la chaîne de valeur de notre activité afin de répondre aux besoins et exigences du client.

Swot

Réponse de Yanis

Les éléments que je prendrai en compte pour juger de l’empreinte carbone de LMC sont les suivant :

Les émissions de gaz à effet de serre :

Les émissions de gaz à effet de serre sont un bon indicateur de l’empreinte carbone de notre entreprise. Les émissions de CO2 sont liées au transport de de matériel de concert jusqu’à l'utilisation des équipements électriques et donc de leur consommation d'énergie.

Les déchets et les polluants :

Les émissions de gaz à effet de serre ne sont cependant pas suffisant pour déterminer l’empreinte carbone de notre entreprise. Il est également important de surveiller la production de déchets et de polluants, par exemple les déchets ménager, les déchets électroniques, les rejets d'eaux usées, etc.

Les modes de transport et de livraison :

Il est aussi intéressant de prendre en compte les modes de transport et de livraison de notre entreprise.

La politique de recyclage de nos produits :

Il peut être intéressant de se pencher sur la manière dont nous recyclons nos produits défectueux.

Réponse de Yanis

Le mode de rendu dont l'empreinte environnementale est la moins forte est, pour moi, la version papier.
En effet, bien que le papier est issus d’arbre et qu’il doit être traité, parfois par des produits chimiques, transporté et stocké, puis qu’on utilise de l’encre pour en faire ce que l’on veut, la pollution du numérique produite lors de la production de notre travail n’est pas négligeable pour ces raisons.
En réalité, les deux types de rendu sont polluants. Il est important de les comparer selon certains critères afin de choisir intelligemment le rendu le plus adapté :

La consommation d'énergie :

Il faut comparer la quantité d'énergie nécessaire lors de la production du papier, qui nécessite de l'énergie pour transformer les matières premières comme le bois par exemple, et la quantité d'énergie nécessaire lors de la consultation d'un document numérique qui lui nécessite de l'énergie pour alimenter l'écran et l'ordinateur.
Pour ce critère, c’est le numérique qui est le plus polluant.

Les émissions de gaz à effet de serre :

Il faut ensuite évaluer les émissions de gaz à effet de serre liées au support papier et au support numérique. Dans le cas du support papier, on génère des émissions de CO2 avec la transformation du bois. Le support numérique produit de CO2 lors de la producition d’énergie nécessaire pour faire fonctionner les appareils numériques, pour la consultation d’un document par exemple.
C’est, ici aussi, le numérique le plus polluant.

La consommation de ressources naturelles :

Pour continuer, il faut évaluer la quantité de ressources naturelles nécessaires pour chaque rendu. Par exemple, la production de papier nécessite du bois et de l’eau, tandis que la consultation d'un document numérique nécessite des ressources naturelles pour produire les équipements électroniques (métaux, plastiques, etc…).
Pour ce critère, les deux rendus sont très polluant. Il est donc difficile d’estimer le plus polluant en se basant seulement sur ce critère.

La gestion des déchets :

Il faut, enfin, estimer les quantités de déchets générés par ces méthode de production. Ici, c’est la production de papier qui semble la plus polluante car elle peut générer des déchets liés à la transformation du bois ou au traitement chimique du papier.

Ainsi, il est assez difficile d’estimer le moyen de rendu le plus polluant, mais le numérique, qui nécessite la production d’énergie en grande quantité et dont la production d’appareils numérique a des effets dévastateurs sur l’écosystème semble plus polluante.

Pour l'empreinte environnementale d'un site web ou d'une vidéo, il faut également prendre en compte les éléments Ainsi, il est assez difficile d’estimer le moyen de rendu le plus polluant, mais le numérique, qui nécessite la production d’énergie en grande quantité et dont la production d’appareils numérique a des effets dévastateurs sur l’écosystème semble plus polluante. énumérés, ainsi que d'autres facteurs tels que :

La consommation de bande passante :

Il faut estimer la quantité de données transférées et stockées pour accéder à un site web ou regarder une vidéo, ainsi que l'impact de cette consommation sur les réseaux et les centres de données.

Les émissions de gaz à effet de serre liées au stockage et au traitement des données :

Il faut ensuite prendre en compte le stockage de documents et les traitements de données sur les serveurs et centres de données qui consomme de l’énergie dont la production rejette des émissions de gaz à effets de serre.

La consommation de ressources naturelles liées au stockage et au traitement des données :

Il faut, de plus, estimer la quantité de ressources naturelles nécessaires pour stocker et traiter les données sur les serveurs et les centres de données produit à partir de matériaux rares, ainsi que l'impact de cette activité numérique sur les écosystèmes et les ressources naturelles.

La gestion des déchets liée aux équipements électroniques :

Enfin, il faut évaluer les quantités de déchets générés par les équipements électroniques utilisés pour accéder à un site web ou pour regarder une vidéo à l’aide des différents outils informatiques (que ce soit un ordinateur ou un téléphone), ainsi que l'impact de ces déchets sur l'environnement.

Il est donc important de prendre en compte tous ces éléments afin d’évaluer l'empreinte environnementale des différents modes de rendu d'un dossier (papier ou numérique) et des productions demandées afin de sélectionner le mode de rendu qui a le moins d'impact environnemental.